7 moments d'allaitement qui vous laisseront vouloir votre propre mère

Certaines nouvelles mamans attendent avec impatience des moments calmes avec le bébé une fois de retour de l'hôpital. Après tout, un lien spécial doit exister dès que possible et quel meilleur moyen que l'art de l'allaitement? Ceci est, bien sûr, une rhétorique. Toutes les mères qui allaitent savent que certains moments de l'allaitement vous laisseront vouloir votre propre mère, et j'ai la chance de les vivre toutes, parfois simultanément. La maternité ne manque jamais de moments douloureux, humiliants et souvent comiques, et l'allaitement est certainement aucune exception.

Mes malheurs d'allaitement ont commencé immédiatement. Je tenais ma belle fille nouveau-née en bonne santé, espérant qu'elle et moi-même puissions comprendre rapidement les choses et avide de puiser dans toutes les connaissances pré-bébé que j'avais acquises pendant toute ma grossesse. Malheureusement, nous avons connu exactement le contraire et mon espoir s’est effondré. Non seulement elle refusait de prendre le sein, mais son désir d'avoir faim avait intensifié mes sentiments de «mère défaillante» et, à son tour, avait interrompu ce processus spécial de création de liens tout en alimentant simultanément ma dépression post-partum.

Comme si toute la grossesse, le travail et l'accouchement de plusieurs jours et une récupération douloureuse ne suffisaient pas, l'allaitement était là pour me rappeler à quel point j'étais incapable. Au moins, c'est comme ça. Dans cet esprit, voici quelques-uns de ces moments où tout ce que je voulais, c’était ma mère (qui savait probablement ce qu’elle faisait quand elle occupait mon poste).

Quand le bébé ne se verrouillera pas

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L'un des premiers moments vraiment frustrants de ces tentatives d'allaitement initiales a eu lieu lorsque ma fille n'a pas pris le sein. Plusieurs infirmières, des médecins et enfin une consultante en lactation à domicile ont tenté d'intervenir en mon nom. Oui, ma douce fille ne l'a pas eu.

Ma mère m'a allaité et même si elle a parlé de problèmes similaires, elle a surmonté le problème. Pourtant, au cours de chaque séance d'alimentation, ma fille et moi avons lutté jusqu'à ce que finalement (et en raison d'autres problèmes de santé), je suis passé au biberon où elle pourrait réellement bénéficier de mon lait maternel pompé et où nous pourrions enfin créer des liens.

Quand ça fait mal

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Soyons honnêtes, l'allaitement n'est pas que des roses et du soleil, comme le montrent les publicités. Peut-être qu'à un moment donné, c'est moins horrible, mais dans mon cas, ça fait terriblement mal. Quand ce n'était pas douloureux, c'était incroyablement inconfortable à plusieurs égards. J'ai pleuré presque à chaque session, souhaitant ma propre mère parce que, aïe.

Quand ton lait ne rentre pas

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L'allaitement est magique. Comme, la vraie magie infestée de licorne. Autrement dit, à moins que votre lait n'arrive et que votre bébé affamé continue à chercher des signes de nourriture ou de nourriture.

Continuer à essayer d'allaiter lorsqu'il n'y avait rien qui puisse vraiment nourrir mon bébé avec mes seins, m'a non seulement laissé avec un bébé frustré, mais a exacerbé ma propre frustration. Vous ne pouvez pas contrôler si ou quand le lait arrive. C'est un jeu de devinettes amusant. De plus, sans laisser tomber, ça fait vraiment mal.

Quand vous attrapez une mammite

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L'horreur de l'allaitement maternel culmine lorsque vous atteignez ce que la clinique Mayo décrit comme «une infection du tissu mammaire qui se traduit par une douleur, un gonflement, une chaleur et une rougeur du sein», également appelée mastite. Vous pouvez contracter cette infection "amusante" via une technique médiocre, des conduits de lait obstrués ou des bactéries. Tous sont également affreux, seulement pour être surpassés par votre bébé toujours affamé et gémissant.

Quand il n'y a pas de fin à la fuite

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Je n'ai jamais réalisé à quel point les seins coulaient, même lorsque vous n'allaitez pas. Bien avant et même après l'allaitement, mes chemises étaient tachées d'humidité. Je suis devenue tellement consciente de moi-même, j'ai doublé de couches et évité de quitter la maison à moins que ce ne soit absolument nécessaire. Pourquoi ma mère ne m'a-t-elle pas parlé de cette friandise "sans importance"? Maman? Bonjour?

Quand vous êtes trop fatigué pour vous nourrir

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Au cours des premiers jours de ma nouvelle maternité, j'ai eu l'adrénaline de devenir mère pour la première fois. Ma dépression post-partum (PPD) n'était pas encore complètement installée et, alors que je m'adaptais au nouvel horaire, je sentais que tout était couvert. Eh bien, à l'exception de l'allaitement maternel. Une fois la fatigue extrême installée, il m'est arrivé de m'endormir, complètement debout au milieu de la journée et en essayant de me nourrir. Je ne peux pas dire que c'était plus facile d'aller à la bouteille, parce que j'étais trop épuisé pour exister à l'époque.

Quand rien ne marche

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Je n'ai jamais plus voulu ma mère que lorsque ma fille et moi avons essayé toutes les suggestions et, même quand même, l'allaitement a été un énorme échec. C'est une chose tellement belle et naturelle. presque comme le droit de passage d'une mère (essayer au moins si elle veut), et je ne pouvais pas le faire. Je me sentais comme si j'avais échoué ma fille et moi - même. Heureusement, une fois qu’elle s’est adaptée à une bouteille, notre relation est devenue beaucoup plus facile et nous avons fini par créer les liens que j’avais espéré.

Après tout ce que j'ai vécu avec l'allaitement, j'ai un respect infini pour ma propre mère et ce qu'elle a enduré bien avant la progression des médicaments traditionnels que nous avons aujourd'hui. Maman, tu es le vrai MVP.