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Pendant à peu près neuf mois, ma sage-femme était l'une de mes personnes préférées sur la planète. Elle était gentille, intelligente, rassurante et prenait toujours beaucoup de temps aux rendez-vous pour me mettre à l'aise et me responsabiliser dans tout ce qui se passait dans et avec mon corps. Elle semblait instinctivement savoir exactement de quel type de soutien j'avais besoin un jour donné, et cela n'a jamais été aussi crucial que chez nous. Il y a des choses que toutes les femmes enceintes veulent que leur sage-femme sache au cours de son troisième trimestre qui vont être cruciales pour une grossesse positive et même potentiellement une expérience d'accouchement.
Ma première naissance a en fait été assistée par un OB-GYN que j'aimais beaucoup. Mais entre ma première et ma deuxième naissance, j'avais déménagé et je devais donc trouver un nouveau fournisseur. Parce que mon premier accouchement avait été une césarienne et que je savais que je voulais que mon deuxième soit un accouchement par voie vaginale, je savais que le défi de trouver un fournisseur de soins respectueux du CCAV était difficile. De nombreux médecins ne considèrent même pas les avantages d'un AVAC avant d'en refuser un (malgré les recommandations du Congrès américain des obstétriciens et gynécologues). D'autres diront qu'ils sont favorables au VBAC mais vont finalement pousser pour une césarienne. Malgré tout, je n'écartais pas la possibilité d'un OB-GYN, mais j'ai commencé à inclure les sages-femmes dans la recherche de prestataires de soins. Dès que j'ai rencontré Kristin, une sage-femme, et je savais qu'elle était celle que je voulais attraper mon bébé.
Comme pour toute grossesse, il y avait des moments où j'avais désespérément besoin de me sentir entendu, compris et soutenu. Kristin était toujours là pour moi, comprenant parfois mes besoins avant même que je puisse les exprimer. Voici certaines des choses que je voulais qu'elle comprenne, je suis sûre que toute femme veut que sa sage-femme le sache.