7 sentiments New-maman, j'avais honte d'admettre que j'avais

En tant que nouvelle maman, j'ai eu beaucoup de difficultés. Outre la récupération physique évidente, le fait de prendre soin d'un nouveau-né et une forme d'épuisement grave que je n'avais jamais ressentie auparavant, la plupart de mes problèmes n'étaient pas visibles à la surface. Ma dépression post-partum (PPD) était comme planter une petite graine qui ne pousserait que si je ne pouvais plus contrôler mes pensées ou mes sentiments. Être un parent est déjà difficile, mais ces sentiments de la nouvelle mère, j'avais honte d'admettre que j'avais contribué à un processus de guérison plus long (à la fois externe et interne).

Avant d'avoir ma fille, je n'étais pas vraiment à la place de mère quelqu'un. Vous ne pouvez pas anticiper quand vous tomberez amoureux, alors naturellement, j'ai rencontré mon (maintenant) mari à un moment crucial; Une fois, j'aurais dû essayer de me comprendre et de ne pas tomber dans une autre relation. Hélas, nous sommes tombés amoureux et je suis tombé enceinte. Après le choc initial, nous avons été ravis.

Après la grossesse, le travail et l’accouchement, passez à la maison avec mon nouveau bébé. C'était officiel: j'étais une mère maintenant et je n'avais aucune idée de ce que je faisais. À la télévision et dans les films, les personnages ne décrivent pas toujours avec précision la maternité. Nous obtenons à la place les meilleurs moments - les pièces qui ne nous mettent pas mal à l'aise. Quand je repense à ces jours-là, quand j'avais des difficultés à nouer des liens avec ce bébé que je ne pouvais pas attendre, j'ai tellement honte de mes sentiments au point que je ne le dis à personne. Je pensais être une mauvaise mère et qu'elle méritait mieux que moi. La plupart du temps, j'étais terrifié à l'idée de ne jamais trouver notre chemin. C’était en partie la vie après l’accouchement qui embrouillait ma réalité, mais l’autre partie était simplement la responsabilité de prendre cet énorme rôle que je n’avais jamais eu auparavant. C'est beaucoup de pression.

Des années plus tard, après avoir eu un deuxième bébé avec des émotions légèrement similaires, je me rends compte des stigmates attachés à ce qu'une nouvelle mère est censée ressentir et à la réalité, c'est ce que ressentent tant de nouvelles mamans. La rétrospective que j'ai acquise m'a appris à quel point le rôle des hormones après la naissance, associé à la fatigue et à l'insécurité face aux actes répréhensibles, est puissant. Il n'y a pas de honte dans tout ça. Voici certaines choses que j'étais trop horrifiée pour admettre à quiconque - même à mon mari - parce que je pensais que quelque chose n'allait pas. La réalité de la situation, cependant? J'étais totalement et complètement normal. Si vous pouvez comprendre ce qui se passe au-dessous, vous en êtes aussi.

Le regret

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L'une des choses les plus difficiles à admettre, c'est quand mon bébé a pleuré et a eu besoin de moi tout au long de ces premières semaines. Mon premier sentiment instinctif a été le regret. J'ai regretté d'avoir un bébé. Cette pensée seule reviendrait à avoir honte (me rappelant que je ne pouvais le dire à personne) et revenait au regret.

Ma vie avait tellement changé que j'ai mis du temps à comprendre tous les sacrifices que je devais faire pour cette petite personne. Cela a l'air si égoïste, je sais, mais j'ai besoin que vous sachiez que ressentir une certaine forme de regret - quand vous sanglotez pendant ces repas de minuit - peut signaler quelque chose de plus important pour lequel vous avez besoin d'aide (comme le PPD), c'est aussi naturel.. Votre vie a été prise en charge. Naturellement, s'ils étaient stressés, ces sentiments pourraient se répercuter directement sur celui qui a tout changé.

Culpabilité

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Lorsque vous avez un bébé, toute cette culpabilité commence à sortir de (apparemment) de nulle part. Vous vous sentirez coupable de ne pas être assez, de ressentir autre chose que ce que vous pensez être censé ressentir. Même maintenant, alors que mes enfants ont 5 et 10 ans, je me sens coupable de presque tous les choix que je fais. J'ai fini par comprendre que cela fait partie du rôle de parent. Nous ne sommes pas parfaits, nous ne pouvons faire que ce que nous pensons être le meilleur et nous ne pouvons qu'espérer que tout se passe bien.

Incertitude

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Suis-je censé avoir mon bébé chaque fois qu'elle pleure ou la laisser pleurer? Dois-je allaiter ou aller au biberon? Et pour dormir? Devrait-elle co-dormir ou être seule?

Je n'étais pas automatiquement une professionnelle juste parce que j'avais accouché, mais j'avais l'impression que j'aurais dû savoir quoi faire. Certains instincts ne se sont pas manifestés et je craignais de faire quelque chose de mal ou de tout gâcher. La vérité est que je me suis trompé. Beaucoup. En fait, je le fais toujours. Nous ne savons pas comment nourrir nos bébés lorsque nous sommes mères pour la première fois. La seule façon d'apprendre est par l'expérience.

Colère

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Parfois, je me sentais en colère mais je ne savais pas toujours pourquoi. Être à la maison avec un nouveau bébé tous les jours (et toute la nuit) était éprouvant. Il n'y a littéralement aucun moyen de se préparer à l'épuisement que subissent votre corps et votre esprit et, pour moi, cela s'est parfois traduit par des sentiments de colère et de ressentiment.

Je n'ai jamais réagi à ces sentiments, mis à part le fait de claquer un cabinet ou de discuter avec mon partenaire d'un non-problème (toujours pas acceptable), mais me sentir tellement en colère n'a fait que rendre la maternité encore plus difficile. Une fois que mes hormones se sont un peu calmées, la rage s'est installée, mais mes réactions, bien que pas toujours nécessaires, ont été valides.

Détachement

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Je ne me suis pas lié avec mon bébé tout de suite. À l'époque, j'avais tellement honte que mes sentiments pour elle n'étaient pas aussi forts que je le voulais, cela a souvent conduit à mon détachement. Au fur et à mesure, je la remettrais quand mon partenaire reviendrait du travail à mon domicile car, à ce moment-là, je ne me sentirais pas assez bien pour le travail. La peur de ne jamais créer de lien se dessinait et, pendant longtemps, je me demandais si elle ressentait la même chose pour moi.

Il s'avère que toutes les mères n’ont pas un lien instantané et, en fait, c’est normal aussi. En réalité, la plupart des liens ne sont pas immédiats et se produisent à la place. Souviens-toi de ça.

Envie

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Qui n'ai-je pas envié à l'époque? J'ai envié mon partenaire pour partir pour le travail. Amis pour vivre une vie amusante, célibataire, sans enfant. Ma famille pour avoir vécu si loin où elle n’a pas eu à s’insinuer dans ma nouvelle vie avec un nouveau bébé. La femme promenant son chien devant notre maison tous les jours. Toutes les personnes.

Avec toute la responsabilité d'être un nouveau parent, j'ai raté le sentiment de liberté.

Peur

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Dès que j'ai ramené ma fille à la maison, j'ai eu peur. Je n'étais pas sûre de pouvoir le faire et d'être une vraie mère. Je voulais la meilleure vie pour elle et pourtant, avec tous les autres sentiments avec lesquels je me débattais, je craignais de ne pas être celle qui lui a donné cette vie. Je ne voulais rien faire qui puisse la gâcher ou causer de la douleur. Le sentiment le plus effrayant au monde est de réaliser que vous êtes responsable d'une autre vie humaine, qu'il n'y a pas de choses à faire et que vous avez le potentiel de tout changer pour le meilleur ou pour le pire. La peur seule m'empêcherait de dormir la nuit. Je sais maintenant que c'est aussi une partie normale de la maternité parce que toutes ces années plus tard, je ressens toujours la même chose.

Être une nouvelle mère signifie ne pas savoir ce qui est, et ce n’est pas, une manière normale de penser ou de ressentir. Chaque femme est différente avec un ensemble différent d'hormones, d'histoires et de lentilles dans lesquelles nous nous guidons. Au cœur de tout cela, nous voulons réussir et quoi que vous ressentiez en ces débuts, essayez de vous rappeler qu'ils passent rapidement. Quoi que vous ressentiez, vous êtes normal.