8 choses qui ne * donneront pas * réellement * à votre enfant

La discipline est un aspect particulièrement difficile de l'éducation des enfants. Au moins pour moi. Je ne peux jamais dire si mon approche pour obtenir le bon comportement de mes enfants les transforme en lâches soumis ou leur donne le sentiment de pouvoir. Je suppose que vous pourriez dire que mon partenaire et moi évoluons toujours en tant que parents. Même si notre premier bébé est arrivé il y a 10 ans, nous adaptons constamment nos stratégies à mesure que nos enfants grandissent. Ce qui a fonctionné pour eux à l’âge de 3 ans (tableaux autocollants, bisous) n’a plus d’effet maintenant qu’ils sont en deuxième et cinquième années. Les essais et les erreurs sont un peu notre mode de vie ici.

Depuis que mon mari et moi avons grandi modestement dans la classe moyenne, nous savons ce que c'est que de se sentir pourvu, mais toujours désireux. Chez moi, nous n'avions ni câble ni malbouffe, et si je voulais un jean Guess, je devais économiser de l'argent pour garder les enfants pour les acheter. Nous n’avons certainement jamais eu le sentiment d’y avoir droit, il est donc important pour nous que nos enfants ne se sentent pas ainsi.

Mais alors que nous abordons la parentalité, nous constatons que les stratégies employées par nos parents il y a une génération ne sont pas tout à fait à notre place. Nous devons donc définir notre propre modèle d’éducation des enfants afin de combler le fossé entre les lacunes de mes propres parents, tout en évitant de surcompenser en gâchant nos enfants. Par exemple, mes parents n'étaient pas si affectueux avec moi, mais comme je suis avec mes enfants, vous me verrez alors les serrer dans leurs bras. Je n'ai jamais envisagé d'aller voir ma mère avec un problème personnel, comme des amis méchants, mais ma fille est très ouverte si elle a un problème à l'école. Elle sait que je suis toujours là pour elle, même quand elle a du mal à maîtriser ses grands sentiments.

Ainsi, alors que mon partenaire et moi-même fournissons généreusement nos enfants avec émotion, nous n’exagérons pas avec des choses matérielles. Et ils ont appris à ne rien attendre lorsque nous allons faire des courses, à moins que nous allions dans un magasin dépenser leur argent d’anniversaire. Je suis toujours inquiet pour ces moments faibles, cependant, quand je viens de donner à mes enfants du chewing-gum sans sucre à la demande. Mais j'apprends qu'il y a certaines choses qui ne donneront pas à nos enfants le sentiment d'avoir le droit, y compris les suivantes:

Dessert

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Mon arrière-grand-mère avait des glaces tous les jours. Mais elle n'avait que deux cuillerées à soupe et n'était pas une personne sédentaire malgré ses 80 ans. Son comportement alimentaire sensé m'a appris très tôt que «tout dans la modération» fonctionne réellement. Vous avez votre gâteau et vous devez le manger aussi. Ce n'était simplement pas une si grosse part.

Je ne suis pas si avare de friandises avec mes enfants. Ils ne sont pas trop sensibles au sucre et mangent des aliments sains toute la journée. Je me sens bien de leur donner un petit dessert. Les sucreries étaient un sujet tabou dans mon ménage et je ne pouvais pas m'empêcher de penser que ma relation compliquée avec la nourriture découlait du refus de me faire servir des friandises. Je ne veux pas que mes enfants soient initiés au désordre alimentaire, alors nous pratiquons «toutes choses avec modération». Nous gardons de la malbouffe à la maison, parce que nous ne voulons pas qu'ils en fassent autant. Jusqu'ici je pense que ça marche. Alors oui au dessert.

Les louer

Quand j'ai eu un 98 sur un test de français au collège, mon père a plaisanté: «Où sont les deux autres points?» J'aurais pu rire, mais je n'appréciais pas d'être appelé pour une petite chose, je me suis trompé, au lieu de beaucoup de choses que j'ai bien compris.

Lorsque mes enfants étaient à la garderie, j'ai remarqué que leurs enseignants les félicitaient pour leur comportement. «J'aime la façon dont vous utilisez vos mots» ou «Merci d'avoir attendu votre tour à l'évier». Au début, je pensais que féliciter les enfants pour accomplir des tâches de base était excessif. Je veux dire, était-ce vraiment remarquable? Puis je me suis rendu compte que les attraper en train de devenir bons allait un long chemin. Un petit éloge pour un travail bien fait donne un certain élan aux enfants, et cela aide certainement à atténuer le choc lorsque nous appelons nos enfants pour mauvaise conduite ou mauvaise coopération. Je pense toujours à quel point je me serais senti mieux si on m'avait félicité pour mes 98 points au lieu de me lasser pour les deux points qui me manquaient.

Dire «oui»

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Un jour, il y a quelques années, je notais chaque fois que je disais «non» à mes enfants ou répondais négativement à une question. C'était beaucoup plus que je pensais. Pas étonnant qu'ils m'aient dit combien ils me haïssaient tout le temps. Ainsi, après avoir lu des moyens d’éviter de fermer les portes de vos enfants, j’ai cherché des occasions de dire «oui» ou au moins d’exprimer positivement ma réponse. "Non, nous ne pouvons pas faire cela", devint, "Cela semble être une excellente idée pour le week-end prochain. Préparons-nous à faire du patin à glace à ce moment-là. »C'était toujours un« non », mais c'était finalement un« oui »et un gagnant-gagnant pour tout le monde.

Mes enfants ont toujours des crises au moment où il est temps d'éteindre la télévision, et il est difficile de transformer «non plus» en un «oui, plus tard, mais nous en avons fini pour le moment», lorsque le gamin hurle par terre. Mais bon, pas de bébé.

En les payant

Mon partenaire et moi avons fixé des limites de dépenses pour les anniversaires de nos enfants et les fêtes de famille, et je préviens toujours les enfants que «nous n'achetons que ce qui est sur notre liste» lorsque nous entrons dans le gouffre financier de Target. Mais nous les payons, car il y a une bonne façon de donner une allocation aux enfants. Ma fille gagne de l'argent pour des tâches qui nous facilitent la vie, telles que plier et ranger sa lessive, nettoyer les toilettes et le lavabo ou laver la vaisselle. Nous ne payons pas nos enfants pour les choses qu’ils doivent faire régulièrement pour que nos journées se passent bien, bien que, comme quand ils se brossent les dents, rangent leurs affaires, rangent leur manteau et leurs chaussures quand ils arrivent à la maison Leurs devoirs.

Jouer avec eux

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Je ne me souviens pas que mes parents aient souvent joué avec moi. Bien sûr, il y avait de temps en temps des parties de Trivial Pursuit et des jeux de cartes à la lumière de bougies lorsque l'électricité tombait sous l'effet d'un orage, mais je ne m'attendais pas à ce que ma mère soit ma compagne au terrain de jeu. Elle a parlé aux autres parents et j'étais censée jouer seule ou avec d'autres enfants.

En tant que maman avec une carrière, je ne suis pas autant avec mes enfants. Je pense que je devrais profiter au maximum de mon temps avec eux et, dans mon esprit, cela se traduit par des jeux actifs, et non pas simplement pour leur rappeler de se brosser les dents et de les faire griller au sujet de leur journée à l'école. Donc, mes enfants s'attendent à ce que mon mari et moi soyons totalement disponibles pour jouer avec eux dans cette heure-là, entre le moment où nous rentrons du travail et le moment où les enfants s'endorment. On a commencé à avoir l’impression de les gâter en évitant les responsabilités des adultes pendant ce temps pour s’asseoir sur le sol et jouer à Trouble.

En fin de compte, tant que je veux jouer avec mes enfants (et moi, parce que je ne les ai pas vus de toute la journée), et tant que je ne les surveille pas (ou que je ne les laisse pas me contrôler), je ne les gâte pas totalement en jouant avec eux.

Temps d'écran

Le temps passé à l'écran n'est pas mauvais en soi. Ce qui compte, c'est la quantité et la qualité du temps passé devant un écran. Les soirées de cinéma, lorsque nous pique-niquons devant la télévision, mon mari et moi-même montrons parfois à nos enfants des films classés R, mais nous pensons que nos enfants peuvent le gérer et nous sommes là pour les guider.

Lorsqu'ils ont un temps d'écran indépendant, uniquement les jours fériés et les fins de semaine, car nous n'accordons pas de temps à l'écran les soirées d'école, nos enfants sont tenus de nous dire ce qu'ils vont regarder et nous pouvons y opposer leur veto à tout moment. Nous sommes chanceux en ce moment, car tout notre fils de 7 ans veut regarder le football, et notre fille ne s'intéresse qu'à la fabrication de vidéos de gâteaux sur YouTube. Mon mari et moi travaillons dans l'industrie de la télévision, alors nous ne pouvons pas l'éviter, mais nous essayons au moins de mettre en place des barrières de sécurité adaptées à l'âge de nos enfants.

Les laisser faire ce qu'ils veulent

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Je ne veux pas les laisser faire quoi que ce soit, quand jamais. Je pense juste que c'est important pour mes enfants d'avoir du temps libre. Leur vie est tellement structurée, principalement parce que mon mari et moi travaillons à temps plein et maintenons un horaire soigneusement planifié pour couvrir les frais de garde des enfants. Nos enfants ont des activités extra-scolaires, et comme ils sont intéressés par plusieurs choses, cela peut devenir un peu agité. Il y a des pratiques de football pendant la semaine et des matchs le week-end. Ma fille prend des ballets et des claquettes, est une éclaireuse et répète chaque semaine une production théâtrale pour enfants. Il y a aussi les devoirs, les études, les tâches ménagères (nettoyer leur place aux repas, plier et ranger leur linge, et s'assurer que leurs sacs à dos sont prêts pour le lendemain matin) et leur douche. Et on ne sent jamais qu'il y a assez de temps en une journée pour rien du tout.

Alors, quand ma fille est en train de se détendre dans sa chambre, sans rien faire que vous qualifiez de «productive», je pense que ça va. Lorsque mon fils relit un livre préféré au lieu d'en commencer un nouveau, c'est bon. Toute la journée, chaque jour, un adulte dit à ces enfants où ils doivent être et ce qu’ils doivent faire. Nous avons tous besoin d'une pause des exigences de la vie. Même en deuxième année.

Demander leur permission

Il peut sembler contre-intuitif pour le parent de demander la permission à l'enfant, mais parfois, c'est tout à fait la bonne chose à faire. À la lumière de tous ces récits de harcèlement sexuel faisant surface (et de ma propre expérience, harcelée au travail et ailleurs, simplement pour être une femme), enseigner le consentement doit être l'une des grandes priorités de tous les parents. De la part des parents qui demandent aux bébés s’ils le souhaitent, à moi-même, de demander à mes propres enfants d’âge scolaire si je peux les serrer dans mes bras, enseigner l’autonomie physique des enfants peut, espérons-le, jeter les bases pour leur apprendre à respecter les autres et à attendre ce même respect. quand il s'agit de limites physiques.

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